Une page presque sans paroles pour rappeler le travail des livreurs de plateforme.

Les éléments ne sont pas toujours favorables à ces travailleurs.



Avoir le sens de l’orientation…




Quel stress ! On peut imaginer que, dans cette zone de résidences portant toutes un même numéro de rue, le stress augmente considérablement, avec la peur d’être rabroué par un client insatisfait du délai.
Et puis il y a les temps d’attente. En tant que travailleur indépendant, on les offre à la plate-forme


Et puis il y a la hiérarchie informelle qui se met en place. Certains « prêtent » leur compte (contre rémunération) à de nouveaux arrivants en situation irrégulière. D’autres s’installent aux meilleurs emplacements , qu’ils revendiquent comme leur territoire.

A noter : la ville de Grenoble met à disposition de ces livreurs un local associatif en plein centre ville, au 8 de la rue Saint François. L’association gestionnaire, l’ADALI, est soutenue par la CGT.

L’inauguration du local associatif
Le 1er mai 2025
Et une autre remarque, liée sans doute à la sociologie de ces travailleurs précaires : je n’ai rencontré que des hommes, jeunes…