L’art urbain n’est certes pas toujours de l’art, mais il comprend quand même une dimension expressive qui mérite d’être considéré, avec a minima attention à défaut de bienveillance. Celle-ci ne se justifie pas dans tous les cas de figure.

Une courte introduction tente expliquer ma démarche, et mon fréquent agacement lorsque je me promène dans cette bonne ville de Grenoble, enlaidie par les produits du laxisme de son maire.

C’est parfois plaisant pour le promeneur, pas toujours pour le riverain.

D’autres œuvres, de grandes dimensions, ont fait passer les murales du statut de créations sauvages, spontanées, à celui de commandes, parfois avec un caractère commercial affirmé. Mais ne boudons pas notre plaisir, et admirons, comme nous avons pu le faire à Montréal la qualité de cette production picturale. En deux épisodes.

Tout d’abord, depuis les artères les plus larges :

Et une seconde partie, qui traite un peu plus spécifiquement des ruelles, des cours et arrière-cours :

Cette série a commencé au Canada, car c’est à l’occasion d’un voyage en ces contrées francophones que j’ai découvert le Street art.

Mais il y a encore bien des images à vous proposer, et notamment celles que j’ai pu glaner à Grenoble.

Ce n’est pas tout, d’autres pages s’intéresseront aussi aux grafs, tags, et autres collages… De quoi bien s’occuper, dans la capitale des Alpes.

Ayez confiance, cela va venir ! Bientôt…