Le traitement des extérieurs du Musée de Grenoble met en valeur l’architecture du bâtiment et ouvre celui-ci sur un paysage pas tout à fait urbain, enrichissant les sensations des visiteurs par un élargissement du regard.
Le parc, le jardin
Également et en toute saison, les abords ajoutent à l’expression artistique, la partie « parc » contient des sculptures de tout genre, bien mises en valeur pour la plupart d’entre elles.

Nous sommes dans une ville dirigée par une alliance EELV-LFI, les tags irrespectueux des murs et des œuvres artistiques sont de rigueur, comme sur l’illustration ci-dessus.
C’est regrettable pour le visiteur « en présentiel », selon les termes modernes, il est toutefois possible pour le « visiteur virtuel » de bénéficier d’une version nettoyée. Des deux images ci-dessous, ma préférence va à la seconde, un traitement logiciel approprié ayant permis la dissimulation de la dégradation esthétique.


Apparemment tous les élus ne partagent pas cet avis… Maintenant l’année 2026 est une année électorale, il est possible que l’on constate quelque amélioration de ce côté-là. Espérons-le…
Certaines des œuvres exposées côté parc sont monumentales, comme celle-ci :

D’autres ont une taille plus humaines. J’aime beaucoup celle-ci avec son côté déconstruit, puissant et dramatique.

Les abords
Repartons vers l’entrée du Musée en longeant l’Isère. Les courbes qui caractérisent les salles d’exposition du XXième siècle (cf. la page Architecture de ce site) ont leur contre-partie dans les cheminements extérieurs.

On retrouve également la liaison suspendue vers la Tour de l’Isle.

Après ce passage, on revient sur la façade avant, plus minérale.

Nous longeons maintenant la façade principale du Musée.

Sur l’esplanade sont dressées des stabiles de Calder. Des œuvres gigantesques qui s’imposent dans le paysage.

De jour comme de nuit.

Notre tour des extérieurs est maintenant terminé, il nous reste plus qu’à grimper trois volées de marches, et nous voici dans le Musée.

Bonne visite !